20/03/2018
Nous les mortels
Et la mort plane à nouveau
Nous qui nous croyions immortels
Qui nous roulions, entre fange et futilités.
La bête sombre ronge les corps et dévore ses enfants
Combien de sacrifices faudra-t-il ?
Amis chers, chaires aimées, chaires broyées
Dressant un fier front, faisant face.
Karma, destinée, mais corps surtout
Qu'on-ils vécu pour que déjà
On les arrache, on les déterre
On les enterre, enfin ?
- AF
12:31 Publié dans Poèmes | Lien permanent | Commentaires (0)
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